lundi 10 octobre 2011

Quartier libre à Flagey

Vendredi soir, rendez-vous au quartier libre à Flagey. D'ici la fin de l'année, le secteur sera entièrement quadrillé, c'est promis!

Composée de petites goûtes de lumière, la déco y est originale et offre une ambiance tamisée. Les murs font office de carte et suggèrent des plats d'origines diverses: brochette de boeuf à la moutarde, nems, soupe froide, rouleaux de printemps etc. Votre plat final sera composé de 4 de vos choix, permettant ainsi à chacun de laisser libre court à ses envies. C'est le restaurant idéal pour les personnes qui ne savent pas choisir. ;-) 

Quartier libre

Pas de grande surprise dans l'assiette, les plats sont réussis mais pas renversant. Je conseille le shitaké qui reste un plat très original à ne pas louper. Pour info: c'est un champignon asiatique enfermé dans sa pâte feuilleté, un délice. Le mi-cuit de porc était très bon également.

Pour ceux qui bossent dans le coin, il paraît que le lunch est top. Petit bémol, l'addition semble toujours un grain trop élevé pour la qualité mais tout à fait raisonnable, il faut compter 25 euro.

mercredi 21 septembre 2011

Sac XXL vs. Les pochettes


On a toutes adorés les sacs façon Mary Poppins, ces sacs magiques dans lesquels on peut plonger pour découvrir plein de trucs oubliés. En cas de panique, le sac Mary Poppins nous a souvent sauvé.

Pensez au vieux stick à lèvre fort réconfortant, aux vieilles chiclettes qui tombent à pic, (juste avant que François se décide à vous glisser un baiser), aux vieux préservatifs, aux vieux stylos, aux vieux tampax, aux vieux bouts de papier (avec le numéro de ce bel italien rencontré au coin de la rue (UDF- Uniquement Dans les Films)), à cette paire de boucle d'oreille qui traine, à ces euros qui se perdent, à ce ticket de métro, à ce rouge à lèvre... 

Cependant, si plus d'une fois, il nous a ravi... Il faut tout de même admettre que c'est aussi bien souvent une véritable angoisse pour trouver l'objet recherché. Car si le coup de l'italien ne met jamais arrivé, le coup du flamant rose plus d'une fois.

Perchée en équilibre sur une patte, une des lanières dans la main droite, le sac glissant sur la jambe pliée et l'autre main farfouillant à l'intérieur de ce sac aux allures d'abime. Qui n'a jamais eu l'impression de jouer à Motus en cherchant un objet dans un sac où ils semblent se ressembler tous?

De loin, la pose est inesthétique. De près, c'est la panique. Un verre dans le nez et vous terminez par terre. Certes avec votre gloss, votre bout de papier, votre stylo etc. mais par terre quand même...

VS.

La pochette mini est bien souvent un accessoire fétiche pour les soirées, surtout aux Etats-Unis. En Europe, les femmes ont tout de même le goût d'avouer que ce mini sac esthétique n'est pas des plus pratique.

Selon l'adage "tout ce qui est petit est mignon" et nous fait craquer bien souvent. C'est certainement pour cela que nous avons toutes dans notre dressing une pochette mini, ne serait-ce que pour les mariages. Peut-être espérons-nous que l'adjectif prenne son envol pour se déposer sur notre personne?

Toujours est-il que pour porter une pochette mini, soit il faut l'envisager comme un élément de décoration stylistique, soit il faut être accompagnée d'un boyfriend avec de grande poche... En effet, qui est déjà parvenu à faire entrer un trousseau de clefs, un portable, un rouge à lèvre dans une pochette mini?

vendredi 26 août 2011

Les fils à maman... Mmmmhhhh

Entre le déménagement, les tracasseries administratives sans fin et la poursuite de projets, j'ai un peu délaissé cet espace. Méa culpa... 

Mais je reviens avec des petites impressions sur un resto "Les fils à maman" au Chatelain, dans la désormais très gourmande rue du Page.

Après la mini vague tendance qu'a suscité son ouverture ou devrais-je dire la phase "m'as-tu-vu-poil-au-cul?", c'est dans une ambiance beaucoup plus sereine que je passe la porte de ce restaurant en août. C'est un samedi, le resto est bondé. C'est kitch mais sympa, vous dinerez entre la collection rose, B.D. Astérix, power rangers et autres objets rappelant l'enfance. C'est un concept complet que nous offre "les fils à maman", de la déco à la carte: la nostalgie.



La nourriture est copieuse et des 4 plats que nous avons choisis: Megaburger (16 euro),  Tartare de Boeuf (15 euro), Salade Popeye (16 euro), Cocotte du chef (19 euro), pas de déconvenue, c'était très bon. Le restaurant souffre peut-être un peu tout de même de ses prix, d'aucun dirait que 15 euro pour du poisson pané et des petits pois, c'est abusé... 

Il n'en reste pas moins que nous avons rebaptisé cet endroit: la souricière. En effet, il semblerait que beaucoup d'hommes charmants apprécient la régressive attitude... Mesdames, à bon entendeur... Ah oui et deux petits plus (pas encore testés) le giga brunch du dimanche midi pour 20 euro et le diner des mamans, comprenez les mamans des proprios derrière les fourneaux un mardi soir par mois.

C'est donc une poignée de bonbons dans la main que nous quittons cet endroit tard dans la nuit imbibées de mojitos et du souvenir d'une très bonne soirée. 

dimanche 31 juillet 2011

Zoom sur Fabian Perez

Après une semaine marathon en mode ikea, déménagement, re-ikea, c'est avec joie que je retrouve mon dimanche soir. J'en profite pour partager une petite découverte: Fabian Perez.

C'est en cherchant à revigorer la déco de ma chambre, ce qui implique d'éviter le piège commun du bus rouge ou taxi jaune sur fond noir et blanc de chez ikea, que je suis tombée par hasard sur cet artiste argentin.

Deux ingrédient m'ont interpellés. Le premier est le traitement. J'imagine bien chacune des toiles comme un encart de BD, allez savoir pourquoi je pense à ça... Le deuxième est l'expression de la sensualité féminine sans vulgarité, ce qui n'est pas à la portée de tous...

Qu'en pensez-vous?

The singer
Balcones de Buenos Aires
  
Paola II
Balcones de Buenos Aires X
Balcones de Buenos Aires II
Sensual touch in the dark
  
Rojo y Azul
Brunette

vendredi 22 juillet 2011

Have a good Friday!!

 

Alors quelle version préférez-vous?
 

Les supers filles du Tram: une fois, deux fois, trois fois, BASTA!

C'est la troisième fois que je me rends dans ce restaurant, la troisième fois et la dernière.

Les supers filles du tram, restaurant dont tout le monde parle avec des yeux de coquert comme si vous alliez y rencontrer Jude Law, ne devrait pas tant faire parler de lui.

Ce burger corner, implanté 22 rue de Lesbroussart, propose une déco hétéroclite façon récup. Les murs sont ornés de dessin de BD, l'ambiance qui s'y dégage est conviviale et les serveurs sympathiques. Saisissez-vous d'un bic pour vous rendre aux toilettes, vous pourrez y écrire des petits mots. L'ambiance générale est sympa, façon kot étudiant mais il y a un fameux hic, et d'ailleurs on s'en rend compte dès l'entrée: l'odeur.


La carte est sympatique, hamburger pour tous les goûts. L'attente n'est pas trop longue mais mon gilet sent déjà l'huile de friture. L'arrivée des assiettes a un petit coté jardinier avec son petit pot de fleur, receptacle à frites. En bouche, tout se passe bien du côté de l'hamburger, du côté des frites, l'ennemi est repéré. La frite est grasse, très grasse, trop grasse, déguelasse. Le restaurant est bondé, c'est à n'y rien comprendre, à croire que les gens guêtent l'arrivée de ces fameuses super fille du tram, fantasme suprême puisque les propiétaires sont des mecs.

A la sortie, on s'asperge de parfum en espérant donner le change, grosse erreure. Si vous comptez "belganiser" préparez-vous à ce que les gens s'écartent de vous dès votre entrée, non pas pour admirer votre hâle de vacancière mais bien parce que vous portez sur vous les marques olfactives de "Marcel, propriétaire de fritkot depuis 20 ans".

Alors si vous ne voulez pas que votre soirée prenne la forme d'un slogan "Oui je sais, je pue la frite", les supers filles du tram est un restaurant à éviter, définitivement.